Passenger au Bataclan — on y était (évidemment)

the passenger
Oui, car apparement Le Bataclan ne sait pas écrire le nom des artistes qui s’y produisent. On a dû aller leur demander de changer. On est gentilles.

Notre résumé

Alors oui, il est maintenant connu que Passenger est l’un de nos artistes préférés et on a donc fait en sorte d’être présentes à chacun de ses concerts en France (excepté celui du 18 Novembre 2012 quand il a fait la première partie d’Ed Sheeran). Si vous nous cherchez vous nous trouverez quelque part au premier rang pendant le concert et agglutinées autour de Mike Rosenberg ou Stu Larsen après le concert.

C’est donc ce que l’on a fait hier, lundi 18 Novembre 2013. Sauf que: nous avons remarqué un changement dans le déroulement de l’évènement comparé aux concerts de Juin, ou à celui de Février. Là où Stu (donc sa première partie, manager de tournée, technicien à ses heures) s’occupait du stand de merchandising, ce sont maintenant des hommes employés par le management de Mike, ou peut être même par le Bataclan, on est pas sûres.

Alors que les artistes avaient l’habitude de descendre de scène à peu près 20 minutes après la fin de leur set pour rencontrer un peu leur fans et passer du temps avec eux, nous avons du attendre trois heures dans le froid pour 10 minutes en leur compagnie. Bien entendu, c’est ce qui arrive lorsqu’un artiste ne joue plus dans des salles accueillant 300 personnes (comme à La Boule Noire en Février) et commencent à remplir Le Bataclan (la salle ayant une capacité de 1498 personnes, et le concert étant complet).

Ce qu’on en a pensé

Un peu de déception côté expérience avant/après le concert, même s’ils se sont arrêtés pour prendre des photos et signer des choses avant le concert, mais côté artiste, Mike Rosenberg reste égal à lui même, se surpasse aussi; il a chanté une chanson sans micro, en espérant que le public respecte son choix et se taise (ce qui a été le cas à 95%).

Malgré les changements qui ont été effectués côté logistique, il reste toujours très humain, fait bien ressentir à son public qu’il l’apprécie, et va même jusqu’à le remercier d’être là tout en lui racontant une anecdote à propos de ses débuts difficiles, expliquant qu’il devait chanter et mettre tout son coeur dans une chanson pendant que les gens buvaient à s’en rendre soûls et se fichait complètement de lui.

On rit, on pleure (oui il est possible qu’on ait versé une ou deux larmes… peut être douze pendant Riding To New York. Bien évidemment nous nous sommes plaintes au principal intéressé qui nous a répondu avec un grand sourire que c’était son but), on vit et on profite.

Les concerts de Passenger sont des concerts auxquels il faut assister, même s’il faut maintenant garder en tête que le rencontrer après le concert est optionnel.

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